La coopération veut dire avoir un comportement extérieur coordonné et fonctionner à l'intérieur avec le moins de tensions/conflits possible. Elle passe par la responsabilité partagée.

Dans un système les identités ou alters sont dissociés mais partagent le même cerveau. Le même organe de fonctionnement – même si chaque part dissociée y accède différemment.

De manière général quand une identité prend le contrôle du corps c'est parce qu'inconsciemment, la totalité du système d'identités a décidé que c'était la meilleure chose à faire à un moment donné. Toutes les identités sont donc responsables de ce qu'il se passe, qu'elles le veuille ou non.

Refuser la responsabilité du comportement d'un alter revient à refuser la responsabilité de ses propres actes. Ces actes peuvent être directement ce qu'a fait l'identité mais ça peut aussi être : négliger les besoins de l'identité, refuser d'écouter son point de vue, refuser de l'aider à soigner ses traumas, négliger de lui apprendre à changer son comportement, etc.

L'article continue en donnant plein de pistes de ressources pour vous aider, que ça soient des livres, des annuaires de professionnels formés, etc.

Pensez à vérifier avec votre thérapeute que vous avancez bien à votre rythme, demandez-lui les informations et outils complémentaires spécifiques à votre situation.

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Poser des limites participe à la sécurité intérieure et extérieure. Son but n'est pas de contrôler le comportement de l'autre mais de se protéger soi. Elle s'applique à soi-même : ce qu'on tolère de la part des autres avant de mettre fin à l'interaction, le maximum de ressources qu'on accepte d'engager dans une situation donnée, etc.

L'article donne les règles de base qu'il est important de mettre en place entre les identités ou alters d'un système. Il explique en quoi elles consistent, à quoi elles servent et pourquoi elles sont importantes.

Ensuite l'article explique quoi faire si les limites sont franchies. Une conséquence n'a rien à voir avec une punition et c'est très important de comprendre la nuance entre les deux. Une conséquence est une forme de réparation du tort causé.

Puis la différence entre une limite et un besoin est abordée. Tout franchissement de limite exprime un besoin qui n'est pas comblé. Il est nécessaire de trouver une manière acceptable de combler le besoin sans franchir les limites. Parfois il faudra faire appel à un psy spécialisé pour aider à gérer certaines identités ou comportements.

Pensez à vérifier avec votre thérapeute que vous avancez bien à votre rythme, demandez-lui les informations et outils complémentaires spécifiques à votre situation.

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Pour apaiser les identités ou alters il faut d'abord communiquer avec et les comprendre. C'est impossible de rassurer quelqu'un sans se mettre à son niveau, voire les choses de son point de vue, comprendre pourquoi la personne ou la part dissociée est en détresse.

L'identité qui rassure doit elle-même être calme, ne doit pas être trigger. Il faut également être dans un environnement physique sécure.

Il faut faire beaucoup de compromis. Des fois cela demande de prendre conscience que certaines choses qu'on aime ou qu'on fait sont mauvaises pour nous (danger, stress, fatigue etc). Y compris ce qu'on fait ou lit sur Internet.

Il est important de développer un sentiment de sécurité au quotidien, dans toutes les activités de la vie. Apprendre à s'occuper quand on est en sécurité, quand on sort du mode survie, peut prendre beaucoup de temps. Ayez de la patience.

L'article touche d'autres sujets comme l'ancrage, la peur, la gestion de la peur, la phobie d'être rassuré et d'autres choses encore.

Pensez à vérifier avec votre thérapeute que vous avancez bien à votre rythme, demandez-lui les informations et outils complémentaires spécifiques à votre situation.

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Avoir différentes identités n'est pas une maladie mais le symptôme d'une blessure. Les alters existent parce qu'on en a eu besoin pour survivre. Leur comportement est rationnel par rapport aux informations qu'ils contiennent et aux situations qu'ils affrontent, par rapport au moment de la vie dans lequel ils sont « coincés ».

Pourtant, comprendre leur point de vue peut être effrayant surtout s'il est très différent du vôtre. C'est la phobie de l'expérience interne. Prenez le temps de leur demander des explications, ce sur quoi ils basent leurs décisions, ce qu'ils essayent de faire. Indice : la quasi totalité du temps c'est pour se mettre ou rester en sécurité. Même lorsque les actes sont graves.

L'article continue avec des conseils pour aborder les comportements problématiques.

Pensez à vérifier avec votre thérapeute que vous avancez bien à votre rythme, demandez-lui les informations et outils complémentaires spécifiques à votre situation.

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Pour communiquer avec ses identités il faut tout d'abord être prêt à s'y engager. C'est ok d'avoir besoin de temps.

La communication s'apprend durant des moments de calme et de sécurité ; les premiers contacts peuvent être très intenses, prévoyez de quoi vous remettre.

Commencez par des choses neutres. Rappelez-vous que la communication peut passer par des pensées intrusives, des émotions, des sensations physiques...

On a souvent l'idée fausse que communiquer « encouragerait » le trouble – en réalité c'est le premier pas vers la guérison. Cela permet de prendre en compte les besoins des parts et d'avoir accès à leurs ressources. Il y a une étape difficile quand on prend conscience de la douleur portée par les alters mais c'est nécessaire pour savoir quelle aide leur apporter.

L'article aborde aussi : la peur d'inventer, le malaise, la peur de ce que les amnésies cachent, quoi faire quand les tentatives de communication n'aboutissent pas, comment gérer les alters qui n'ont pas conscience de faire partie d'un système, comment rassurer les identités coincées dans le trauma...

Pensez à vérifier avec votre thérapeute que vous avancez bien à votre rythme, demandez-lui les informations et outils complémentaires spécifiques à votre situation.

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